Corps humain | Histoire de la médecine, maladies graves, psychanalyse, bien-être...
La ballerine Olga Kuraeva [Photo : Alexander Yakovlev]
Bioéthique
L'interrogation ou la dénonciation inquiète des Hommes vis à vis de la science en général, et plus précisément de la médecine, n'est pas nouvelle. Hyppocrate (460-377 av. notre ère), le premier, avait fixé un code qui contrôlait l'«activité» (tekhnê) des médecins : ce texte énoncait des principes de respect et de droits du patient, reconnu en tant qu'être humain. Cl. Bernard (1813-1878), quant à lui, s'efforcera de déterminer les limites d'une «pratique anatomique raisonnable» et conclura, à propos des expériences conduites sur l'Homme, qu'il en est de défendues, «celles qui peuvent nuire» ; les autres, innocentes, sont permises et «celles qui peuvent faire du bien son commandées».
Les sciences médicales
Hippocrate
" Que ton alimentation soit ta première médecine."
La physiologie
CHARLES RICHET (1850-1953). Il travaille dès 1880 sur la chaleur animale, les sérums, puis sur les phénomènes «supranormaux», relevant du «métapsychisme». Il publie de nombreux ouvrages dans ces domaines avant et après la Première Guerre mondiale, et reçoit le prix Nobel de médecine en 1913.
PAUL PORTIER (1866-1962). Il enseigne la physiologie comparée à Paris, et celle des animaux marins à l'Institut océanographique de Monaco. Il avait découvert en 1902 avec Charles RICHET le phénomène de l'anaphylatie (hypersensibilité d'un être à la seconde introduction d'une substance dans son organisme).
La vaccination
ALBERT CALMETTE (1863-1933). Fondateur de l'Institut bactériologique de Saigon (1891) et de l'Institut Pasteur de Lille (1896), il effectue des recherches sur les sérums antivenimeux et antipesteux. Il réussit surtout, en collaboration avec Camille Guerrin (1872-1961), microbiologiste qui travaille avec lui à Lille et à Paris sur les maladies infectieuses, à mettre au point en 1923 le BCG, vaccin contre la tuberculose qui porte leur nom (Bacille Calmette Guérrin) et qui est utilisé dans le monde entier.
PIERRE LEPINE (1901-1989). Fils de Jean Lépine, il fut à partir de 1927 l'élève de Constantin Levaditi (1874-1953) à l'Institut Pasteur de Paris. Ils y travaillent sur les affections à tréponèmes, les virus neurotropes et l'utilisation du bismuth dans le traitement de la syphilis. Pierre Lépine prolonge ses recherches sur les virus et leur rôle dans l'encéphalite, la rage, la poliomyélite, et mettra au point un vaccin contre cette maladie (en 1954). Il développe l'usage de l'ultracentrifugation et du microscope électronique dans l'étude des lésions cellulaire.
Clinique et patholyogies médicales
CHARLES ACHARD (1860-1944). Professeur de clinique médicale à la faculté de médecine de Paris avant la Première Guerre mondiale, il travaille sur les kystes congénitaux, le colibacille, les leucocytes et les plaquettes, le choc anaphylactique et la glycolyse.
FERNAND WIDAL (1862-1929). Professeur de clinique médicale à la faculté de Paris, il laisse une oeuvre importante en biologie. Il spécifie le bacille d'Eberth et effectue avec André Chantemesse (1851-1919) la première vaccination antityphoïdique d'animaux de laboratoire. Il découvre le sérodiagnostique de la typhoïde, le cytodiagnostique des épanchements pleuraux et du liquide céphalorachidien avec Paul Ravaux (1872-1934), qui travaille aussi sur la syphilis, le paludisme et l'amibiase, et Jean Sicard. Fernand Widal travaille aussi sur la pathologie rénale et la déchloration avec son élève André Lemierre ; il précise le rôle de la rétention d'urée et développe la clinique des néphrites.
JEAN SICARD (1873-1929). Professeur de pathologie à la faculté de Paris, il met également au point le traitement des varices par des injections sclérosante, celui des algies par alcoolisation nerveuse et les injections d'huile iodée opaque à la radiographie.
ABDRÉ LEMIERRE (1875-1956). Il étudie ensuite les staphyloccocies malignes de la face, les septicémies à anaéobies, et avec James-Paul Reilly la clinique des syndromes malins des maladies infectieuses.
JAMES PAUL REILLY (1887-1974). Il travaille également sur les septicémies, la pathologie rénale, ainsi que sur la fièvre typhoïde.
Des grands chirurgiens
ALEXIS CARREL (1873-1944). Il est l'un des fondateurs de la chirurgie moderne, mettant au point la technique de la suture des vaisseaux sanguins et de la conservation des tissus in vitro et expérimentant la transplantation d'organe. Médecin major durant la Première Guerre mondiale, il a également imaginé le traitement des blessures par irrigation continue d'hypochlorite de soudés (solution de Dakin). Mais c'est surtout aux États-Unis qu'il trouve un milieu favorable pour poursuivre ses recherches. Revenu en France, il crée durant l'Occupation la Fondation française pour l'étude des problèmes humains.
THIERRY DE MARTEL (1876-1940). Il travaille d'abord dans le service de Paul Segond (1851-1914), professeur de clinique chirurgicale à Paris et fondateur de l'enseignement de la gynécologie. Puis il développe cette spécialité, met au point une nouvelle technique de trépanation et crée avec Clovis Vincent la neurochirurgie française.
CLOVIS VINCENT (1879-1948). Ce dernier etudie en particulier les tumeurs de l'hypophyse, les abcès du cerveau, l'oedème cérébral...
La neuropsychiatrie
JOSEPH-JULES BABINSKI (1857-1932), qui a décrit plusieurs signes cliniques d'affection neurologique («signe de Babinski»), et Pierre Marie (1853-1940), qui a travaillé sur l'aphasie et l'ataxie cérébelleuse, fond figure de précurseurs en neurologie.
JEAN LÉPINE (1876-1967). Professeur de clinique neurologique et psychiatrique à la faculté de Lyon à partir de 1911, il étudie le rôle des chocs sur les maladies mentales. Il prolonge la réflexion entreprise au XIXe siècle par Philippe Pinel (1745-1826), qui avait obtenu que les aliénés soient suivis par des médecins, et ne soient plus attachés, et celle de Jean Esquirol (1772-1840), son élève, qui continua son oeuvre et enseigna la clinique des maladies mentales. L'un et l'autre peuvent être considéré comme les fondateurs de la psychiatrie moderne.
La parasitologie
ALPHONSE LAVERAN (1845-1922). Médecin militaire, il découvre l'hématozoaire du paludisme lors de son séjour en Algérie en 1878. Il quitte l'armée en 1897 pour se consacrer entièrement à l'étude des protozoaires pathogènes et entre à l'Institut Pasteur. Il obtient le prix Nobel de médecine en 1907 et laisse de nombreux ouvrages en particulier sur le paludisme et les fièvres.
La chimiothérapie
ERNEST FOURNEAU (1872-1949). Chef de laboratoire à l'Institut Pasteur à partir de 1911, il est à l'origine du développement de la chimiothérapie. Il utilise des dérivés de l'arsenic pour soigner la syphilis, le pian, les trypanosomiases, il travaille sur l'usage des sulfamides, les anesthésiques, le traitement du paludisme.
JACQUES TRÉFOUEL (1897-1977). Il se consacre plus particulièrement à la chimiothérapie antibactérienne et à l'étude de l'action des sulfamides en ce domaine. Il sera directeur de l'Institut Pasteur de 1940 à 1964).
La pharmacologie
GUILLAUME VALETTE (1902-1982). Professeur à la faculté de pharmacie de Paris en 1938, il étudie la circulation lymphatique et développe la pharmacodynamie. Dans ce domaine, il travaille sur l'action des anesthésiques locaux, sur la pénétration cutanée des hydrocarbures, des alcools et des esters, sur la détoxication de l'histamine, sur la tachyphylaxie..., et d'une façon générale sur la biochimie médicamenteuse.
L'endocrinologie
ROBERT COURRIER (1895-1986). Professeur au Collège de France, il travaille sur l'action et le métabolisme de la progestérone et de l'oestradiol, qu'il appelle «folliculine».
Alexis Carrel
Albert Calmette
Albert Calmette et Camille Guerrin
Ernest Fourneau
La psychanalyse
SIGMUND FREUD (1856-1939). Freud introduit en 1896 le néologisme Psychanalyse pour désigner la discipline qu'il à lui-même inventée, et qui est à la fois un procédé d'investigation des processus inconscients, une méthode de traitement des névroses, et une théorie d'ensemble de la vie psychique, prétendant constituer une science à part entière.
Freud à raconté à plusieurs reprises, en particulier dans son autobiographie Ma vie et la psychanalyse (1925), les circonstances qui ont entouré la naissance de la psychanalyse. Médecin de formation, il se consacre á partir de 1890 au problème posé par les symptômes hystériques. Écrites en collaboration avec Breuer (1842-1925), les Études sur l'hystérie (1895) mettent en place les principes fondamentaux de ce qui va devenir la psychanalyse. Les symptômes hystériques sont des réminiscences : le sujet y revit, à son insu, un traumatisme ancien, de nature sexuelle, qu'il exprime de façon symbolique. Le traitement doit suciter une remémoration véritable de ces événements traumatiques, permettant de réintroduire dans la conscience ce qui a été refoulé par le sujet : la cure est ainsi une catharsis (en grec, «purification», «purgation»), une libération par la parole. La méthode élaborée par Freud est donc bien, au sens propre, une «psychanalyse», une analyse du psychisme : le principe qui l'anime est de chercher la source des perturbations du psychisme dans le psychisme lui-même, et non dans un mécanisme corporel qui lui serait extérieur. Elle se heurte logiquement, dés son apparition, à une double hostilité : celle de la tradition médicale, selon laquelle le traitement des symptômes ne peut consister qu'en une action effective sur leurs causes organiques ; et celle de la tradition philosophique issue de Descartes, selon laquelle le psychisme est intégralement conscient par définition, si bien que ce qui est obscur en lui ne peut lui venir que du dehors. L'enjeu de ce double combat est la notion d'inconscient psychique, véritable clef de voûte de la psychanalyse.
La psychanalyse, dans ces différents courants, considère les récits mythiques comme la formulation de structures inconscientes : ainsi Freud utilise-t-il le personnage d'Œdipe pour mettre en lumière les relations complexes unissant l'enfant à sa mère. Jung (1875-1961) installe pour sa part l'idée d' "inconscients collectifs" qui apparaît dans des symboles culturels tels les mythes, les contes, le folklore.
Selon le psychanalyste Lacan (1901-1981), l'analyste n'est pas pour son patient un «autre», un alter ego semblable à ceux que le sujet côtoie depuis toujours, et qui lui renvoie l'image dans laquelle il se retrouve, l'image de son «Moi» plein et achevé. La relation avec l'analyste détruit au contraire cette plénitude imaginaire, car l'analyste y occupe le «lieu de l'autre» révélant au sujet sa division et sa béance irrémédiable. Elle subvertit du même coup toute psychologie.
Citations de Sigmund Freud
" L'Homme est rarement tout à fait bon ou mauvais. Le plus souvent bon dans telle relation. Mauvais dans telle autre ou bon dans telle circonstance et dans telle autre franchement mauvais."
" Il existe deux manières d'être heureux dans sa vie : l'une est de se faire passer pour un idiot, l'autre est de l'être vraiment."
" La civilisation est quelque chose d'imposé à une majorité récalcitrante par une minorité ayant compris comment s'approprier les moyens de puissance et de coercition."
Quelques maladies graves à travers l'Histoire
Hippocrate
Le serment d'Hippocrate
La médecine dans l'Antiquité grecque
La médecine dans l'Antiquité romaine
Instrument de médecine
Période : Antiquité romaine
Le stéthoscope
Le médecin français René-Théophile-Hyacinthe Laennec (1781-1826)
Le stéthoscope de René Laennec.
Laennec invente le stéthoscope (d'abord baptisé cylindre) le 17 février 1816. L'invention de Laennec est un instrument en bois en trois parties mobiles. On raconte que la première version du cylindre fut composé d'une simple liasse de papier. Le premier manuscit mentionnant une oscultation à l'aide de cet instrument date du 8 mars 1817. La patiente : Marie Mélanie Basset, 40 ans. Pierre Piorry améliore le stéthoscope vers 1830.
Le médecin français Pierre Adophe Piorry (1794-1879) et son stéthoscope amélioré. Le stéthoscope bi-oculaire est imaginé en 1829, mais seulement construit à partir de 1851.
L'histoire du caducée
Ambroise Paré
Résistance du corps humain
Touaregs
TEMPÉRATURE
Températures qu'un corps humain (en bonne santé génerale) peut supporter.
Minimale : 28º Celcus
Maximale : 42º Celcus
En dehors de ces limites les températures deviennent létales.
Températures d'environnement supportables (sans équipement spéciaux).
Minimale : inférieure à 0° C
Maximale : 75º/80º C
Selon les conditions extérieures (vent, milieu aquatique, etc)
Hypothermie
Température normale du corps humain : entre 35º et 37 ºC.
Entre 32º et 35º C : hypothermie modérée.
Entre 28º et 32º C : hypothermie importante.
En dessous de 28 º: hypothermie sévère.
En dessous de 20º : la survie est exceptionnelle.
Les conséquences de l'hypothermie dépendent de l'état de santé générale, des conditions climatiques, du degré d'exposition, etc).
ACCÉLÉRATION
Le cerveau peut supporter une accélération de 9 G pendant 0,5 ms avant de subir des dégât létaux (soit 317,7 Km/h en une seconde.
Inuits
La criothérapie
Les soins par le froid
Les soins par le froid existent depuis l'Antiquité, mais la méthodologie scientifique (évaluation des résultats) ne voit le jour qu'à partir d'une innovation japonaise de la fin des années 1970. C'est le docteur Yamaguchi qui invente la chambre de criothérapie (injection d'aires nitrogéné) en 1978.
La judoka française Amélie Guihur devant une chambre de criothérapie
Championne de France senior (2015).
Championne de France junior (2013).
Voir : Les sportifs et la criothérapie
Voir : Indications et contre indications de la criothérapie
Annie Lennox - Cold
Voir aussi : Annie Lennox - Cold (version concert)
De quoi sommes-nous fait ?
Environ :
Planche anatomique
Le sprinter jamaïcain Usain Bolt
Il détient actuellement 3 records du monde : 100 m (9 s 58), 200 m (19s 19) et relais 4x100 m (36 s 84).
Détenteur sur 200 m du record du monde junior (19 s 93) et de la meilleure performance cadet (20 s 13).
Les émotions de la danseuse Olga Kuraeva
Des expressions du corps et de l'esprit
La ballerine Olga Kuraeva, membre de la Bolshoi Ballet Academy, utilise la danse pour exprimer des émotions. La scène, la photographie (notamment avec Alexander Yakovlev) et la vidéo lui permettent de transmettre ce qu'elle ressent.
«I am not an actress. If I am not going through a certain emotion, I won't be able to express it through dance. It doesn't matter if I dance well or not -the most important thing is that I am real.»
Voir aussi (sur ce blog) :
-Album photos Olga Kuraeva
-Album photos Alexander Yakovlev
Olga Kuraeva
Professional dancer, Teacher of classical dance
Citations
" Mon but n'est pas d'enseigner, je suis ni un scientifique ni un professeur. Je suis un découvreur, mon but est d'émerveiller. On aime ce qui nous a émerveillé, et on protège ce que l'on aime."
(Jacques-Yves Cousteau)
" Un savant médecin dit : La meilleure médecine c'est de l'amour et de l'attention. Et quelqu'un demanda : Et si ça ne fonctionne pas ? Le médecin sourit et répondit : Augmente la dose."
" Tout médecin devrait être un nutritionniste et pratiquer une véritable nutrithérapie."
(Jean-Claude Rodet).
" Les mathématiques, la chimie, la médecine s'introduisirent peu à peu dans les écoles les plus renommées de l'Europe, tant par les traités que par les découvertes et les expériences. Sans les Arabes, difficilement y aurait-il eu un Gerbert, un Albert le Grand, un Arnaud de Villeneuve, un Roger Bacon, un Raimond Lulle ; tous ils avaient fréquenté les sages de l'Espagne ou étudié leurs écrits."
(Johann Gottfried von Herder)
" Il faut plus d'imagination, de jugement, et d'intelligence pour devenir un grand médecin que pour devenir un grand chimiste."
(Alexis Carrel)
Reconnaissance...
Gerty Theresa Cori (Prague, 1896 - Saint-Louis, 1957) : Prix Nobel de physiologie ou médecine en 1947 (Conversion catalytique du glycogène) / États-Unis.
Françoise Barré-Sinoussi (France, 1947) : Prix Nobel de physiologie ou médecine en 2008 (VIH) / France.
Voir : Les bienfaits du rire
D'où vient votre fatigue ?
Comprendre son origine :
-le surentrainement ?
-le surmenage ?
-la maladie ?
-la déprime ?
-le manque de sommeil ?
TESTE
1) Vous vous sentez fatigué(e)
A : Durtout le matin
B : En milieu de journée
C : Plutôt le soir
D : Toute la journée
2) Vous sortez
A : D'une période d'activité intense
B : D'une période de repli sur vous-même
C : De maladie
D : D'une phase difficile psychologiquement
3) À table
A : Vous êtes au régime
B : Vous aimez la bonne chère
C : Vous avez peu d'appétit
D : Vous essayez de manger équilibré
4) Vous pratiquez une activité physique
A : Tous les jours
B : Une ou deux fois par semaine
C : Très régulièrement
D : Jamais
5) En ce moment
A : Vous avez bon moral, c'est juste le corps qui ne suit pas
B : Vous avez des soucis
C : Votre humeur fait des montagnes russes
D : Il ne se passe rien de spécial dans votre vie, pourtant vous aimeriez bien
6) Votre sommeil
A : Vous avez du mal à vous endormir le soir
B : Vous vous réveillez aux aurores
C : Vos nuits sont "hachées"
D : Même en dormant assez vous êtes fatigué au réveil
FAITES LES COMPTES
Question 1
A = 1 ; B = 2 ; C = 3 ; D = 4
Question 2
A = 2 ; B = 3 ; C = 4 ; D = 1
Question 3
A = 3 ; B = 4 ; C = 1 ; D = 2
Question 4
A = 2 ; B = 4 ; C = 1 ; D = C
Question 5
A = 4 ; B = 1 ; C = 2 ; D = 3
Question 6
A = 2 ; B = 1 ; C = 3 ; D = 4
SI VOUS OBTENEZ UNE MAJORITÉ DE :
4 Votre épuisement est avant tout physique
2 Vous souffrez surtout d'une fatigue nerveuse
1 Votre lassitude vient plutôt du moral.
3 Votre fatigue résulte d'erreurs liées à votre hygiène de vie.
Teste tiré du livre du docteur Jean-Loup Dervaux, Bilans de santé personnalisé selon l'âge, le sexe et le terrain (ed. Dangles).
Olga Kuraeva
Article - Sources : Le petit Larousse de l'Histoire de France (ed. Larousse) . Culture générale (éd. Hatier) ; Encyclopédie Universalis. Photos (illustration) : Olga Kuraeva ; professional of dancer, teacher of classical dance / Photos/en partie : Alexander Yakovlev.
Inscrivez-vous au blog
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 66 autres membres